samedi 4 septembre 2010

Sarko-one Sarko-last...

Chers amis, visiteurs du blog, voici un petit peu de détente dans ce monde illogique avec ce billet qui a pour thème l’avion de monsieur le Président de la République, Nicolas S. Le but de cet intermède n’est pas polémique : je ne ferai aucune révélation croustillante et je ne critiquerai rien inutilement. A part vous conseiller quelques liens sur des sites qui ont consacré des articles sur le sujet, je vous dirai, à la fin, pourquoi j’en parle si je n’ai rien à en dire.
1) Pour connaître une version à peu près acceptable du dossier, le lien ci-dessous livre quelques informations intéressantes et rectifie quelques fantasmes des journalistes sur ce qu’on appelle le « Sarko-One »
2) Si vous voulez connaître les secrets de la fameuse baignoire du « Sarko-One » je vous conseille une visite sur le site suivant.
3) Une variante est disponible ci-dessous.
4) Pour des infos officielles, celui-ci.
5) Pour ceux que l’avion avec ou sans baignoire laisse indifférent voici un peu de culture en forme de devinette.
Que peut-il ? Tout.
Qu’a-t-il fait ? Rien.
Avec cette pleine puissance,
en huit mois un homme de génie
eût changé la face de la France,
de l’Europe peut-être.
Seulement voilà, il a pris la France et n’en sait rien faire.
Dieu sait pourtant que le Président se démène :
il fait rage, il touche à tout, il court après les projets ;
ne pouvant créer, il décrète ;
il cherche à donner le change sur sa nullité ;
c’est le mouvement perpétuel ;
mais, hélas ! Cette roue tourne à vide.
L’homme qui, après sa prise du pouvoir a épousé une princesse étrangère
est un carriériste avantageux.
Il aime la gloriole, les paillettes,
les grands mots, ce qui sonne,
ce qui brille, toutes les verroteries du pouvoir.
Il a pour lui l’argent, l’agio, la banque, la Bourse, le coffre-fort.
Il a des caprices, il faut qu’il les satisfasse.
Quand on mesure l’homme
et qu’on le trouve si petit
et qu’ensuite on mesure le succès et qu’on le trouve énorme,
il est impossible que l’esprit
n’éprouve pas quelque surprise.
On y ajoutera le cynisme
car, la France, il la foule aux pieds,
lui rit au nez, la brave, la nie, l’insulte et la bafoue !
Triste spectacle que celui du galop, à travers l’absurde,
d’un homme médiocre échappé.
Victor HUGO,
« Napoléon, le petit »
Bien ! Passons aux choses sérieuses !
Admettons qu’en 2012, les électeurs votent pour le candidat proposé par la « Royauté Républicaine Française », à savoir moi-même ! Quelle sera la toute première chose que je ferai dès mon investiture ?
Réponse : elle est très simple. Avant la Révolution Française, le roi Louis XVI, voyant les finances de l’Etat sombrer dans les abîmes du déficit inquiétant aux allures de banqueroute, avait tout simplement vendu sa vaisselle pour renflouer, pour l’exemple, le trou béant.






















Moi, je revends l’avion présidentiel, avec sa baignoire et tout le tralala, et je finance la recherche sur les maladies orphelines.
Qu’on se le dise…

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