samedi 14 août 2010

Quelques précisions utiles !

Les lecteurs de ce blogs ne sont pas arrivés sur ce site par hasard. Ils ont été invités par mes soins à venir se renseigner : pour cela j'utilise les moyens à ma disposition, notamment Facebook. Si je ne les ai pas invités directement, ils ont du faire des recherches sur le web. Pour pouvoir trouver le site d'information sur lequel vous êtes à présent connecté, vous avez certainement entré des termes comme « royauté » ou « république » ou même les deux à la fois. Il se peut également que vous soyez arrivé ici tout à fait par hasard en indiquant au moteur de recherche un mot ou une expression qui n'a, a priori, rien à voir avec le sujet qui est abordé ici. Quelles que soient les raisons qui vous ont amené ici, il y a une précision capitale que je dois aborder.

Le nom de ce site, « Royauté Républicaine », même s'il décrit le fonctionnement de la France, républicaine et démocratique, attirera plus l'attention par le premier mot, à savoir : Royauté. Et la question qui viendra à l'esprit de certains, avant de fouiller parmi les pages pour y trouver une réponse, sera la suivante : suis-je royaliste, oui ou non ? Si oui, quel prétendant ai-je choisi ? Si non, pour quel candidat à la future élection présidentielle de 2012 ai-je l'intention de donner ma voix ?

J'ai été royaliste, jadis, je l'avoue, mais je n'ai réellement jamais su me décider entre les Orléans ou les Bonaparte. Et puis, franchement, j'étais royaliste comme d'autres sont de gauche, ou de droite, ou anarchistes, ou sans opinions, parce qu'il paraît qu'un moment il faut choisir quelque chose ne serait-ce que pour aller voter. Quitte à choisir, autant que ce soit quelque chose d'original. Cette originalité, je la dois à un camarade de classe, Christian Hémery, qui, dès la sixième ( au collège Robespierre, à Arras ! Non, ça ne s'invente pas ! ) en 1974-1975, m'a initié à une histoire de France qui n'était pas simplement scolaire. Je suis né en 1963, ma sixième c'était en 1974, j'ai donc commencé très jeune.

J'avais donc 11 ans quand je suis tombé dans la fleur de lys. Or, si j'y suis tombé, je m'en suis relevé. C'est bien joli d'être royaliste, encore faut-il des raisons et des arguments pour convaincre que ce n'est pas une idée dépassée. Et puis il y a cette histoire de prétendant. L'avantage d'Internet c'est que toutes les informations sont en ligne : des sites sont consacrés à tout ce qui se rapporte à la royauté, les mouvements royalistes, les querelles dynastiques et ainsi de suite. J'ai lu des articles intéressants, certes, mais tellement « à côté de la plaque » et tellement loin des problèmes quotidiens du français moyen ( dont je suis : je suis fonctionnaire, de base ! ) que j'ai compris qu'ils ne pourraient sérieusement revenir au premier plan. J'ai imaginé, un moment, choisir mon père, Jean Dequéant, comme prétendant: il a une culture encyclopédique et aurait fait un très bon « roi des français ». Il aurait refusé, épouvanté, car, comme j'ai coutume de le dire : « Mon père est républicain comme personne ne l'est plus, et moi je suis républicain comme personne ne l'est encore ! »

Alors, dans tout ça ? Je vous invite à entrer les critères suivants dans un moteur de recherche :
- Henri comte de Paris, Général de Gaulle, royalistes, prétendants au trône, Louis XX.
Vous verrez à quel point les prétendants et leurs sympathisants « marchent à côté de leurs pompes » comme on dit vulgairement.


Dans ces conditions, quel prétendant ? Réponse : aucun ! J'ai l'intention d'être candidat à la Présidence de la République pour mettre en place les bases d'une véritable démocratie définie dans « Les principes de la Royauté Républicaine Française ». Je rappelle que la durée officielle d'un mandat est de cinq ans !

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